Dans la salle de l’école, Lone place sur la vitre une silhouette d’oiseau. Nous fermons les volets. Nous les ouvrirons une heure plus tard pour découvrir que l’oiseau a bougé. Nous voilà reconnectés avec les premières visions ancestrales de l’ombre par l’homme, la sienne, celle des animaux qui apparaît et disparaît avec le soleil.