Danse in situ
La chaleur in situ
Chorégraphie : Madeleine Fournier, Chant : D’après l’œuvre de Henry Purcell
La Chaleur c’est l’amitié, la joie d’être ensemble, l’amour, la solidarité. L’excès de chaleur évoque la sécheresse, le désert, la mort, ou encore le réchauffement climatique qui annonce la fin de notre espèce. Guidée par la musique de Purcell et la figure des Muses inspiratrices des arts et de la joie, j’envisage La Chaleur comme une sorte d’opéra expérimental qui célèbrerait le cycle de vie et de mort. » Madeleine Fournier.
« Ce spectacle désarme la photographie plus qu’aucun autre. Il faut imaginer qu’ils chantent, il faut imaginer qu’ils dansent, et surtout que pour eux c’est exactement la même chose : une affaire de souffle. Dans ‘La Chaleur’, Madeleine Fournier avec quatre partenaires merveilleu.x.ses de drôlerie folâtre, avec Purcell qu’ils et elles chantent comme on respire, elles-ils fabriquent un mythe gai du recommencement, entre club des Cinq baroque et Printemps de Botticelli en chaussettes ». Philippe Mangeot
Madeleine Fournier a été soutenue par Nos Lieux communs pour adapter sa pièce La Chaleur à l’espace public et paysager. Nos Lieux Communs est un réseau de structures culturelles, dont fait partie l’Essieu du Batut, dédiées à la création contemporaine et au spectacle vivant qui inscrivent leurs actions dans des espaces naturels, des lieux atypiques, et des jardins remarquables. Ces structures développent leurs projets artistiques comme des révélateurs du paysage, et interrogent les points de vue sur le monde et l’espace public au prisme des regards singuliers des artistes.
40 minutes