Solys, c’est l’ovni du coin, l’électron libre qu’on aime suivre parce qu’il déjoue les évidences. Originaire de Rodez, il trace sa route à part, entre ciel et bitume, avec cette manière bien à lui d’emmener l’Aveyron ailleurs. Solys, c’est l’instant suspendu entre un café du matin qui s’éternise et une balade sans destination.

Loin du vacarme des habitudes, il fait résonner des échos nouveaux, comme une Simca Rallye 2 filant dans la brume, mais les yeux levés vers l’horizon. 

Casque enfoncé sur les oreilles, carnets griffonnés et idées plein les poches, il fait vibrer les lieux ordinaires avec des sons venus d’ailleurs.

Solys, c’est l’éclat d’une vision décalée au cœur du quotidien, c’est le bouillon d’idées pour les matins trop gris. Un acteur local, oui, mais de ceux qui ouvrent des fenêtres là où on pensait qu’il n’y avait que des murs.